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ville de vanves - Page 1220

  • LE DERNIER CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    JEAN MONNET : A l’occasion d’une question orale, valérie Mahey (PS) ex-présidente du Mouvement européen à Vanves s’est plainte que la stéle rendant hommage au père de l’Europe, dans le square Jean Monnet ne soit pas entretenue, qu’elle était même délabrée dans un quartier pourtant aménagé et embelli. « Des crédits sont ils inscrits dans le budget 2015 pour la rénovation de cette stéle symbole de l’idéal européen ? ». Xavier Lemaire (UDI), conseiller municipal a jugé excessif ce constat. « Nous avons demandé aux équipes chargée de l’entretien de la voirie d’être vigilant ».

    PARC DES EXPOSITIONS : Le grand embouteillage qui a bloqué tous les quartiers autour du Parc des Expositions, et notamment la porte de la Plaine et les rues avoisinantes du parc des expositions, les 20 et 21 Novembre dernier,  a fait l’objet d’une question orale de Jean Cyril Le Goff (PS). Marie Françoise Goulobtzoff, maire adjoint UDI  qui a rappelé les mesures prises depuis 10 ans en concertation avec le Parc des Expositions pour éviter le stationnement dans certaines rues riveraines lorsque les parkings du Parc sont plein, a expliquée que des dysfonctionnements peuvent intervenir.  « Ce fut le cas avec cette paralysie du quartier à cause de la fermeture intempestive des portes du côté de la place des Insurgés de Varsovie. Les poids lourds se sont amassés et ont crée ce grand embouteilage. Un phénoméne exceptionnel ».

    AMIANTE : Vanves comme les 6 autres communes constituant GPSO ont constitué un groupement de commandes en vu de la passation de marché pour réaliser des diagnostics amiante dans les enrobés des espaces extérieurs. « Cette mesure nouvelle n’est pas réjouissante pour nos finances, car elle va augmenter les coûts si on décéle de l’amiante dans nos chaussées » selon Bernard Gauducheau. « Ce qui va poser beaucoup de problèmes à des communes qui risquent de ralentir la rénovation de leur voirie ». 

    REDEVANCE : Le dernier conseil municipal a relevé les redevanves d’occupation du domaine public, car il n’avait pas été actualisé depuis le 1er janvier 2006. 3 objectifs sont poursuivis par la ville : Simplifier les modes de calcul pour les redevances dues par les entreprises lors de chantiers, et intégrer expréssement de nouveaux éléments liés notamment au gros chantiers de construction occasionnant d’importantes perturbations pour la circulation routière. Les tarifs sont ainsi de 0,85€/m2/jour pour un échaffaudage, 1€/m2/jour pour une palissade, 1,70 €/m2/jour pour une baraque de chantier, 150€/demi journée pour des engins de chantiers ou levages.  Ensuite, restructurer la nomenclature des occupations ou utilisations du domaine public par des activités commerciales et intégrer de nouveaux éléments (camions pizzas, food-struck, scooter de livraison), les tarifs variant de 20€/m2/an pour une terrasse, un étalages, une échoppe volante à 50€/m2/an pour des pistes d’accès à une station service comme celle de la rue Jean Bleuzen par exemple. Enfin, prévoir une tarification horaire pour les tournages de courte durée  (960€/jour ou 70€/heure pour le jour, 1905 € /nuit ou 190 €/Heure) et simplifier le mode de calcul des neutralisations de stationnement pour les véhicules techniques (10 à 15 €)

    SIPPEREC : Dans son intervention sur le rapport d’activité du SIPPEREC (syndicat Intercommunal de la périphérie de Paris pour l’electricité et les Réseaux de communication) qui regroupe 107 Collectivités, Michel Dingreville, conseiller municipal délégué a donné quelques chiffres intéressants sur les actions menées dans n,otre communes : Travaux d’enfouissement des réseaux aériens de la rue Murilllo pour lesquels la ville avait conclu une convention de délégation de la maîtrise d’ouvrage à l’instar des travaux d’enfouissement réalisés rues Gresset, Mansart et Arnaud. Participation au financement, sous forme de subventions aux travaux d’améliorations de performances énergétiques comme la réfection de l’étanchéité de la toiture de la créche Boule de Gomme, aménagement de la créche Pain d’Epices, Rénovation de la toiture et des menuiseries de l’hôtel de ville  (menée en plusieurs tranches). Poursuite de la valorisation des travaux d’économies d’énergie sous forme de certificats d’économie d’énergie pour des changements de chaudiéres dans les écoles Larmeroux et du Parc ainsi que le club Murillo, des radiateurs de niveau 1 de l’école Larmeroux avec installation de radiateurs basse température, isolation des planchers de la créche Pain d’Epices, isolation des combles et changement des menuiseries de l’hôtel de ville. Enfin réalisation d’audits énergétiques aux créches Boule de Gomme et Pain d’Epices, à la piscine municipale et à l’hôtel de ville.  

  • LA DERNIERE REUNION PUBLIQUE DE QUARTIER DE L’AUTOMNE 2015 A VANVES : DES HAUTS DE VANVES DETONANT ET ETONNANT

    L’abattage des arbres et la finalisation de la mise en place du stationnement réglementé qui ne font plus d’histoires, ni suscitent la polémique, ont été pourtant au centre d’une réunion détonante au grand étonnement des élus présents et de certains participants, Lundi soir dans le préau de l’école Larmeroux.

    Bernard Gauducheau venait de présenter les différents chantiers réalisés, en cours de finition ou même en projets, notamment le déclassement de la rue de l’Avenir qui doit être transférée dans le domaine public pour permettre sa requalification. Mais voilà, il manque quelques signatures (6 sur 60) de propriétaires  (introuvables) pour lancer cette opération qui est, du coup, retardé d’un an. « La requalification de la rue Aristide Briand est envisagée à partir du moment où l’ensemble des chantiers seront terminés et réalisés » a-t-il précisé à cete occasion. La réunion prenait son rythme de croisière lorsqu’une mère de famille qui fréquente la piscine avec son bébé de 9 mois, l’interrogea sur le nouveau règlement intérieur : « Comme nous ne pouvons plus rentrer les poussettes dans les vestiaires, où allons-nous pouvoir les ranger ? Où trouve t-on des bonnets de bain de bain pour bébés puisqu’il n’y en  a pas (sur internet) ? ». Philippe Thieffine, conseiller municipal, lui a indiqué quelle pouvait en trouver chez GO Sports, et  qu’il n’y a pas de solutions pour les poussetttes, d’autant plus que des travaux d’aménagement sont prévus à l’accueil et dans les vestiaires avec l’aménagement d’une salle de musculation. Le maire a précisé que « si la piscine municipale offre un service, elle n’est pas chargé de prévoir le stockage et la surveillance  des poussettes dans ce genre d’équipement, sauf en ce qui concerne les crèches ».

    « Pourquoi les arbres de la rue de Châtillon ont-ils été coupés ? » - « C’est le Logement Francilien qui a procédé à leur abattage, car ils étaient en mauvais état et devenaient dangereux » a répondu le maire en donnant la parole à Mme Murry, l’une de ses habitantes : « Les travaux entrepris par le Logement Francilien suppriment 14 places de parkings que l’on a cherché à récupérer d’une façon ou d’une autre (à l’occasion  de travaux de résidentialisation ) » a-t-elle indiquée. Du coup, un  autre riverain a proposé de planter des arbres dans la rue de Châtillon, où il a repéré 35 occasions de plantations pour agrémenter cette voie publique « car il n’y a que du béton et du métal » - « Il n’y a pas de réponse à apporter. Je veux bien y réfléchir, calculer le pour et le contre en fonction des places de stationnement. Il est vrai que j’aurais préféré que le Logement Francilien remplace ses arbres »  a indiqué le maire. Du coup, un riverain de la rue Larmeroux s’est plaint de la trop grande hauteur des arbres plantés le long de cette voie. « J’ai relayé votre demande au département. J’ai été renvoyé sur les roses. Le département préfère élaguer ses  grandes arbres pour les garder. Je préfère planter des arbres qui n’atteignent pas cette hauteur ! »

    « Pourquoi y a-t-il un stationnement payant sur une partie de l’avenue du Général de Gaulle et pas sur l’autre ? » a demandé un riverain en visant cette partie de l’avenue après le carrefour avec l’avenue de a Paix.  « On est sur une partie de l’avenue (où on a demandé au conseil Général de faire les trottoirs avant d’instituer le stationnement réglementé. Et nous sommes tributaire du département ! » a-t-il indiqué. A ce moment là une riveraine de l’avenue de la Paix particulièrement en verve s’est exclamée : « Il y a des gens qui se foutent de payer le stationnement payant ! Je me rappelle qu’il y avait des garages. Mais ils ont été transformés en logement » - « Ce stationnement payant est bien accepté maintenant. Il a libéré beaucoup de places sans l’espace public. Il est en place et il le restera » assura t-il face à quelques habitants de la rue Mansart et alentours qui s’étaient levés et protestaient fortement. « Vous ne pouvez pas dire que vous l’avez fait après consultation de la population » assènait l’un d’entre eux alors qu’il tentait de rappeler toutes les réunions d’informations organisées avant son début de mise en place  et des points d’étapes effectués lors de telles réunions de quartier. « Cela encourage les gens de prendre leur voiture pour aller travailler. Lorsqu’on revient le soir, on ne peut pas se garer !  Ce n’est pas fait dans  l’intérêt des résidents, mais dans l’intérêt de la commune qui veut ramasser de l’argent »- « Non cela n’a pas été fait pour l’argent mais pour assurer un turn-over et éviter les voitures ventouses »  essaya t-il d’expliquer en ajoutant : « Vous défendez votre intérêt privé mais pas l’intérêt général ! » - « l’intérêt des habitants de notre rue » répliqua l’un d’entre eux, alors que son voisin ajoutait :  « Vous avez un métro de retard ! » - « Et moi, une gare d’avance ! »

    Occasion de revenir sur la gare de Grand Paris Express, prévue au Clos Montholon, sous la gare SNCF de Clamart, sur la ligne 15 Sud qui sera mis en service en 2020. « Est-ce que vous prévoyez d’autres maisons à fiche en l’air »entend alors dans le public. « On aura des informations (en temps utile) de la SGP (Société du Grand Paris) qui est très sérieuse et professionnelle. Ce qui est important pour nous, est la revalorisation de ce secteur appelé à se développer » - « Y aura-t-il des incidences rue du Clos Montholon ? » - « Une seule propriété de Vanves, à la pointe, est concernée » a-t-il répondu en indiquant que « la ville a prévu une zone de préemption renforcée pour éviter la spéculation foncière et immobilière ».      

  • GUY JANVIER, CONSEILLER GENERAL PS DE VANVES SUR TOUS LES FRONTS !

    Entre la séance budgétaire du Conseil Général des Hauts de Seine, jeudi dernier et sa réunion publique de compte rendu de mandat, vendredi soir à l’école Max Fourestier, Guy Janvier (PS) a été énormément sollicité à la fin de la semaine dernière, même si la date de cette dernière était mal choisie, trop proche des fêtes et vacances de Noël à un moment où les vanvéens commencent à avoir la tête ailleurs

    Il a été le porte parole du groupe PS dans le débat budgétaire en expliquant, face aux 780 M€ de budget solidarité de proximité du Conseil Général, que « sa priorité n’est pas la solidarité, mais la baisse de la dette d’un département non endetté », en lui reprochant de faire des réductions de crédits, et lorsque ce n’est pas le cas, « il s’agit d’une simple traduction mécanique des hausses de dépenses  (+9,3%) liées aux 3 grandes allocations solidarité (RSA, APA et PCH). Le PDI-RE (Plan, Département d’insertion et de retour  à l’emploi) ne représente plus aujourd’hui que 5 à 6% des dépenses versées aux allocataires de notre département. Or ce sont des actions qu’il finance, qui devraient permettre à nos concitoyens tombés dans la grande précarité de s’en sortir ». Il a dénoncé une baisse des investissements de 40% dans les collèges depuis 2010 : « Ce sera la faute « Devedjian ». Vous n’investissez pas sur l’humain qui est l’un des trois piliers du développement durable » a-t-il déclarée en expliquant qu’il attend  depuis 10 ans la rénovation du collège Saint Exupery. « Les crédits d’études sont enfin inscrit dans le budget, mais quand la rénovation se fera t-elle alors qu’il y a urgence, compte tenu des sur-effectifs de la cité scolaire de Michelet qui créent des conditions difficiles d’études ».  Il a attaqué la politique du logement du département  et surtout le non respect de taux de 25% de logements sociaux par 22 communes sur 36 en citant Boulogne (14%), La Garenne Colombes (11%), Neuilly (4%)… « Comment fait on pour se loger dans notre département ? » s’est il interrogé en citant l’exemple de cette agent communale de Vanves  partie à retraite avec une pension de 790 € par mois après 36 ans de service. « Elle doit payer un  loyer de 700 € par mois. Comment va-t-elle faire sans APL ? »

    Des thémes qu’il a repris bien sur lors de sa réunion à Vanves  en parlant du Collége St Exupery où il a rappelé être à l’origine des cours d’allemand au sein des classes européennes, de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) qui est une autre façon d’entreprendre, développé à Vanves avec la création du SEL (Service d’échange local) de Vanves qui regroupe maintenant 60 participants. « Les Entretiens d’Albert Kahn  - qui doivent être le laboratoire des «  futurs souhaitables selon Patrick Devedjian - ont permis de donner quelques pistes en parlant de jardins sur les toits, de tiers lieux… « qu’il  ne faut pas creuser, mais développer ! ». Il a rappelé qu’il s’est battu pour obtenir le maintien de la PMI  et de l’EDAS (ex CASS) de la direction de la vie sociale du département, à Vanves, le département ayant acheté le local de l’ancienne trésorerie (365 m2) pour y installer l’EDAS,  qu’il est très attentif à l’accessibilité des maisons de retraites (dont les prix deviennent exorbitants), aux différentes structures pour handicapés comme le GAM « ERIK » ou le CAP avec Simon de Cyréne…Il a surtout parlé de la contractualisation entre Vanves et le Conseil Général à travers les contrats de développement « que j’avais préconisé avant sa mise en place, et qui a permis une  meilleure clarté et transparence dans les aides versées à la commune » explique t-il.

    Il a fait le point sur la Métropole du Grand Paris (MGP) grâce à Anne Laure Mondon qui suit de près ce dossier et la réforme territoriale. Il est pour la suppression des départements dans les métropoles. «Il n’y a aucune utilité à garder les départements de la petite couronne  dans la métropole du Grand Paris. Le pas Navigo à tarif unique va dans ce sens là. Pour gérer des problèmes d’une grande complexité, ll faut avoir une zone géographique cohérente. Patrick Devedjian en le refusant, est un petit baronnet ! »